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Louis Keynes
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Orion O'Sullivan
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Orion O'Sullivan
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MessageLouis Keynes EmptySam 15 Déc - 17:52

LOUIS KEYNES
car si le monde était un ciel, tu serais de toutes les étoiles, la plus belle.
NOM COMPLET - louis, rien de bien compliqué, juste un désir de ta mère d'afficher ses propres origines françaises. et puis keynes : parce qu'il est d'usage de porter le nom de son père et que le tiens s'appelle comme ça. voilà. ☆ ÂGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE - toi, t'es d'ici mon petit. t'es d'harvey, et tu y as passé approximativement toute ta vie, depuis le 10 juin 1993. et ouai, au fait : t'as 25 ans, le quart de siècle. bravo, t'es un grand maintenant. ☆ NATIONALITÉ ET ORIGINES - t'es un joli petit bâtard toi, franco-ricain comme on aime bien. ☆ ORIENTATION SEXUELLE - homosexuel affirmé et assumé, pas dans le genre grande folle affichée mais plutôt dans le sens pd décomplexé. ☆ STATUT CIVIL - gamin au cœur d'artichaut. celui qui tombes amoureux du nouvel amour de sa vie tous les quatre matins. tout a bien faillit changé, le jour où vous vous êtes embrassés. mais toi t'as tout gâché, tu t'es barré. ☆ OCCUPATION - étudiant en psychologie, dernière année. deuxième année de master en criminologie, si on veut être précis. ☆ SITUATION FINANCIÈRE - aïe aïe aïe. moyen dans la classe moyenne, tu t'en sors pas toujours très bien, passé le 20 du mois tu te nourris surtout de jelly belly, et ce depuis que tu es étudiant. ☆ TRAITS DE CARACTÈRES - t'es carrément bordélique, louis : il suffit de regarder ton petit studio. un peu à l'image de tes sentiments. t'es comme ça toi, attachiant. toujours le premier à provoquer, à taquiner. mais avec cette tendresse et ce sourire enjôleur qui te permet d'absolument tout te faire pardonner. t'es le bon pote, celui sur qui on peut toujours compter. parfois un peu au risque de te faire entuber.. t'as peut-être un peu le syndrome de peter pan, t'es ta propre source de bonheur permanent. un grand naïf, un éternel enfant. louis, l'indécis. louis, l'insouciant. ☆ AVATAR - cameron dallas. ☆ GROUPE - amnesia.

« FROM THE BEGINNING »
T'imagines souvent la scène, le sourire aux lèvres. La sage-femme qui t'annonce de la sorte : « C'est un garçon. » ; et ta mère épuisée par des heures de souffrance qui grimace, les quatre fers en l'air : « Encore ? » puis t'imagines ton père aussi, faire trois fois le tour de la salle d'accouchement en moonwalk, en t'imaginant déjà marié avec trois enfants qui porteront son nom. Alors que tu fais tout juste cinquante trois centimètres et que ton organe reproducteur n'est pas plus grand que ton nez de fœtus à peine pondu et tout tondu. Enfin bon, évidemment, t'en sais rien de tout ça. Non pas que tu y étais pas, mais disons que le jour de ta naissance ne t'es pas particulièrement resté en mémoire, et que tout ça te semble bien trop caricaturé dans ta petite tête de déluré pour être à l'image de la réalité. Seulement c'est un peu comme ça que t'imagines les choses aujourd'hui en les regardant assis autour de la table lors du repas de famille du dimanche midi. Ton père, qui étale sa fierté envers ton frère, tandis que ta mère te cajole d'un regard si doucereux qu'il ne peut être que celui d'une mère. Deux repas semi-mensuels et un coup de fils hebdomadaire servent à contenter tes parents pour t'aider à payer partiellement ton petit loyer. C'est un peu comme ça, entre vous. Un accord tacite, tu joues très occasionnellement au petit garçon bien rangé, et tu peut jouir de ta vie et de ton temps restant en toute liberté. A quoi ça sert d'être sur la terre, si c'est pour faire nos vies à genoux ? Tête haute petit, et sourire poli. Tu n'es pas vraiment à plaindre, bien au contraire. En matière de famille, t'aurais pu tomber sur mieux, mais t'aurais pu tomber sur pire aussi. Et puis, c'est pas comme s'il s'agissait de celle qui prenait le plus de place dans ton cœur.


« THEY CALL IT COMING OUT »
T'as le regard qui vacille, petit. Le voile banc c'est des conneries, ce n'est que le fruit des lumières qui balancent sous cette avalanche de coups qu'ils te lancent. Puis t'as ce regard, plein de larmes qui refusent de couler. Parce que putain Louis, t'es plus un gamin. T'as quatorze ans, et tu deviens grand. Tu t'es cherché, et tu pensais enfin avoir réussis à te trouver. Tu entends encore son nom, tu vois encore son visage: à ce garçon. Personne n'en savait rien, c'était votre petit secret. Dû moins c'est ce que tu pensais. Un beau petit brun, rencontré lors de tes entraînements de basket. De sourire en fou rire, d'accolade amicale en caresses secrètes à la limite de l'immoral. Mais qu'est-ce que t'en avais à faire, toi ? Tu te sentais heureux, vivant, grisé par le danger de l'interdit, de cette nouveauté. Personne n'en savait rien, ni tes amis, ni ta famille. Et toi, toi t'aimais tout ce qu'il te faisait. Jusqu'au jour où il ne sait plus pointé au gymnase du quartier, jusqu'à ce jour maudit, où t'as bien cru ne jamais plus pouvoir te relever. Un entraînement banalement triste, sans sa présence avec toi sur le terrain. Mais tu joues, tu fais de ton mieux comme d'habitude, et tu te démerdes bien. Puis c'est dans le vestiaire, se vidant progressivement, que cet entrainement c'est mal terminé. Ton visage ensanglanté, couché sur le sol. Et tes poches d'un bleu presque noir, autour de tes yeux ... Et leurs insultes, qui résonnent dans ta tête. Et leurs coups sur ton corps, et toute ton âme qui s'évapore. Tu t'éteins, tu te mets sur pause. Et c'est seulement lorsqu'ils te laissent, presque pour mort, que tu pleurs en rentrant chez toi. Lèves la tête petit, et tu tournes la page. Ce petit brun que t'aimais, à disparu de la circulation et toi, t'arrêtes le basket. Tu n'as jamais vu leurs visages, ni reconnu leurs voix. T'es simplement, rentré chez toi. T'es parents étaient absents durant cette période de vacances scolaires. T'es resté chez toi, à guérir, à pleurer. Et les éviter, eux, tes vrais amis. Ton frère était le seul témoin de ton état, et pourtant il n'a rien fait, rien d'autre que d'éviter de te croiser, aussi souvent qu'il le pouvait. On sait que le temps c'est comme le vent, de vivre y a que ça d'important. Alors une fois quelques jours passés, tes ecchymoses presque envolées. T'as assumé tes préférences, tout en tâchant bien de passer cet incident sous silence. T'as relevé la tête, et t'as décidé de tout oublier, pour du mieux, pour te jurer d'absolument tout faire pour vivre heureux.


« AFTER US THE END OF THE WORLD »
« When I'm with YOU, all I get is WILD thoughts ! » tu chantonnes, tu brailles, t'exprimes ton génie artistique, enfin appelles ça comme tu veux. « WILD WILD WILD ! » les pieds sur le tableau de bord de cette voiture qui n'est pas la tienne. Dj improvisé, et auto-proclamé : t'es le gardien de l'auto-radio, t'es le seul à pouvoir y toucher. Et tu danses comme un paraplégique, tes bras s'agitant dans tous les sens pour compenser le fait que tu sois le cul posé à la place du mort. Parce que tu veux pas passer le permis, parce que tes potes te servent de taxi. Parce qu'ils sont ta famille, et te laisse à peu près tout passer. Parce que, t'agis comme un gosse, comme le petit dernier. Simplement parce que tu refuses de voir le monde tel qu'il est, un ramassis de crasses et de déception. T'as besoin d'eux, c'est même plus que ça. T'as besoin, d'en avoir besoin. Ils sont tes frères, tes sœurs. Ta famille, la vraie. Celle qui se lève la nuit pour te consoler, celle qui a su te remuer quand il le fallait, celle qui te juge pas quand tu manges des bonbons devant de vieilles comédies musicales ; pas celle à qui tu te contentes de sourire deux dimanches par mois. On se fout pas mal de la morale. T'as besoin d'eux, et tu te plait à penser naïvement qu'ils ont besoin de toi. Parce que même le plus brillant des soleils n'aurait aucune utilité s'il n'avait personne à éclairer.


« IT'S THE BEGINNING OF SOMETHING NEW »
Ton plateau sous le bras et ton petit carnet dans les mains « Alors on a dit un mokaccino supplément chantilly et un latte macchiatto caramel, je vous apporte ça tout de suite. » un bref clin d’œil à l'attention de tes clients, ou plutôt du beau petit brun adepte du supplément chantilly. Tu cales ton stylo entre ton oreille et ton bandana dans un geste machinalement exécuté tout en glissant ton carnet dans ton tablier de serveur branché. T'aimes bien ton travail. Evidemment, c'est pas ce qu'il y a de plus passionnant, mais toi t'aimes bien l'idée de pouvoir intercaler une journée d'intense réflexion universitaire basée sur l'éternel conflit lacano-freudien, avec une autre de ce travail teinté de légèreté. T'es payé pour faire ce que tu fais de mieux, sourire et écouter des gens. Tu leur apporte sur un plateau, une petite dose de bonheur ultra-caféinée parfois accompagné de quelques mots réconfortant. Tu vis pour voir les gens sourire, et toi, ça te rend heureux. Tout en faisant grimper les pourboires. T'es bien maintenant, tout roule pour toi petit, profite. Car toutes les plus grandes tempêtes sont précédées d'un moment d’accalmie.


« THE STAR THAT SLOWLY GOES OUT »
Elle résonne à l'horizon, elle gronde. Elle approche, la tempête. Louis mon petit, tu l'avais pourtant prédit. L'accalmie fût de courte durée, et le doux ciel bleu de ta vie s'apprête à sombrer.. Tu observes le ciel, la nuit. Et ces étoiles qui brillent, combien d'entre elles sont éteintes depuis longtemps déjà, tandis qu'elles continuent pourtant de briller pour tes yeux d'enfant ? Tu es de celles-ci, louis. De ces étoiles qui semblent briller éternellement, de loin. Alors qu'elles se sont déjà éteintes depuis longtemps. Et lorsqu'on s'en aperçoit enfin, il est trop tard. On les a admiré de loin, on a tant aimé les regarder briller, qu'on ne s'est même pas aperçu qu'elles avaient déjà cessé d'exister, là-bas, au loin, à des milliers d'années lumières de notre jolie planète Terre, de notre égoïste réalité. Nous les avons contemplé, des heures durant, sans même prendre conscience un instant qu'elles s'étaient déjà éteintes, seules. Jonah est revenu dans ta vie, louis. Puis il t'a de nouveau laissé seul, sans prévenir. Tu as mal, louis. Tu vacilles petit, t'es fébrile. Tu revis de nouveau ce douloureux passage de ton passé, que tu as pris bien soin de dissimuler. Tes anciens démons remontent à la surface aussi, l'abandon pour la seconde fois de celui que tu pensais être l'amour de ta vie, et tes anciens bourreaux qui semblent tout droit sortis de ton passé, tu peux les croiser dans la rue à tout moment, tu les as reconnu et cela te terrorise, petit. Tu sens ta vie glisser doucement, tu doutes de tout et de tous le monde. Le squad est ton dernier rempart, bien qu'ils ne sachent rien de tout cela présentement. Mais nul doute que tu serais incapable d'essuyer la moindre déception de leur part en ce moment. Louis t'es fragilisé, bien plus qu'auparavant, mais tu parviens à ne rien montrer, rien du tout. Ton sourire est simplement bien moins éclatant qu'avant, et ta douleur ne se manifeste qu'à l'intérieur, pour le moment.


« AND THE STAR MADE WAY FOR NOTHINGNESS »
Ces stupides oiseaux de nuits, ces terribles fantômes de ton passé, de ta vie ; auront bien faillit avoir ta peau, louis. Voilà ici probablement le passage le plus dramatique de ta courte petite vie. En y repensant aujourd'hui, tu dois bien avouer que les images restent encore un peu floues dans ton esprit. Tu te souviens de ces explications avec l'un de tes anciens bourreaux, tu te souviens de ce secret révélé contre ton gré à tes plus proches amis, ta famille. Tu te souviens de cette pulsion terrible qui l'espace d'un instant, a voulu t'ôter la vie. Petit prince, joli soleil, tu as bien faillit t'éteindre ce jour-ci. Tu te souviens ces visages inquiets, ce sentiment étrange d'amour mêlé de haine que génère l'incompréhension. Tu avais bien trop longtemps vécu dans le mensonge, louis. Et tu aurais dû faire face à présent, tu aurais dû affronté ta famille, tes amis. et simon aussi, simon.. pas un jour ne passe depuis, sans que tes plus grands regrets ne soient pour lui.


« MY MOUTH SAY "I'LL COME BACK", BUT MY EYES SAY "NEVER" »
Tu te souviens, t'être réveillé dans le gaz entouré de tes amis sans pouvoir trouver la force de t'expliquer. Tu te souviens, les jours qui ont suivi, de ces différents scénarios qui se sont élaborés dans ton esprit. De ces adieux déchirants, qui n'ont jamais eu lieu. De ces quelques mots lâchement prononcés " je vais passer quelques jours chez mes parents, pour me remettre. promis, je vous appellerait souvent. " Mais tu n'as jamais appelé. Parce que pour la première fois de ta vie, tu as été en accord avec tes parents. Ils t'ont fait une proposition, que tu as accepté immédiatement. Tu devais partir, tu devais couper court à toute cette folie pour pouvoir te reconstruire. Tu ne pouvais pas rester ici, tu ne pouvais pas imposer cette chute vers l'enfer à tes amis. Tu n'as pas appelé, jamais. T'as envoyé des mails, au début. Des trucs vagues, qui ne laissaient pas de grands espoirs quant à l'éventualité que tu répondes aux questions qu'ils te posaient. Rien de direct, rien d'instantané. Juste des mails qui disaient, je suis en vie. La france, c'est joli. Je vous aimes. Je reviendrais. Promis. Parce qu'en réalité tu n'es pas allé chez tes parents, et cette petite bande de joyeux chenapans n'ont pas mit bien longtemps à s'en apercevoir. Tu es allé en france, hébergé par ta famille maternelle. C'est d'ailleurs à l'Université de Rennes que tu as validé ta première année de Master, non sans quelques difficultés. Quelques mois en france, serait-ce le remède magique pour te sortir du chaos qu'était à présent ta vie ? Probablement. Tu t'es fait quelques vagues connaissances, des amis. Mais rien qui ne saurait un jour arriver ne serait-ce qu'à la cheville de tes amis d'Harvey. Ton squad, ton crew. Ta famille plus que tes parents et ton frère ne l'ont jamais été.. puis une fois ton année validée, tu as été pris d'un flash. Et si cette famille, venait à faire une croix sur toi. S'ils ne voulaient pas te pardonner ? Une pensée, plus violente qu'une claque, un joli rappel de la réalité. Tu t'étais remis sur pieds louis, maintenant : il était tant de rentrer.


« NO FORGIVENESS OF GOD IS WORTH THAT OF HIS FRIENDS »
Tu ne pensais pas que ce serait aussi radical pour toi. Voilà que tu venais de passer plusieurs mois à l'étranger, plusieurs mois durant lesquels tu t'es senti grand, presque adulte, comme l'âme d'un indépendant. Mais il te suffit de rentrer à la maison pour te sentir à nouveau comme un enfant. Tu crains presque la réprimande comme ce serait le cas d'un gamin rentrant de l'école sachant qu'il doit faire signer un avertissement à ses parents ; alors tu ne sais pas ce qui prend le dessus entre l'appréhension et l'excitation. Tu redoutes les réactions des uns, souvent excessives mais passagères. Et celles des autres, plus subtiles mais terriblement rancunières.. Dans le bus, qui mène à Harvey, tu regardes par la fenêtre. Les différents quartiers de la ville, tu les connais et tu te sens petit en voyant dans les rues, tous ces gens. Tu pensais que revenir ici raviverait de douloureux souvenirs et pourtant.. c'est tout l'opposé qui se produisit. je suis à la maison. que tu te répètes sans cesse ; la caserne de gabe, le garage de plùm.. je suis à la maison. Et les souvenirs joyeux qui un après l'autre, resurgissent dans ton esprit ; ne laissent plus aucune place aux terribles frayeurs du passé, que tu espères cette fois-ci garder à jamais bien enfouies. Tu es parti brisé, tu reviens réparé et endurcit. Pourtant même en france, ce n'est pas comme si la vie t'avait épargnées.. Mais qu'importe, si la vie doit être courte, tu te fais un devoir de la rendre belle, de l'illuminer. Car les vraies étoiles ne cessent jamais vraiment de briller.

☆ DEPUIS COMBIEN DE TEMPS ÊTES-VOUS À HARVEY ? En fait, depuis toujours. T'es né ici, dans l’hôpital de cette ville. Cette même ville t'a vu grandir, passer du stade d'ovule fécondé à celui d'un jeune homme qui s'est enfin trouvé. Et tout ceci en seulement vingt-cinq années, on peut dire que tu n'as pas chômé.

☆ QUEL QUARTIER HABITEZ-VOUS ? QUELLES SONT VOS IMPRESSION ? third ward, parce qu'il fallait bien s'installer quelque part lorsque tu es revenu de france et que l'idée d'aller t'installer chez tes parents ne t'enchantait pas des masses. T'aimes bien ce quartier, t'aimes l'ambiance, l'atmosphère. Ici c'est beau, c'est joli, c'est coloré, comme toi louis. t'es pas du genre terne comme mec, on le sait bien.

☆ QUEL EST VOTRE POSITION CONCERNANT LE PROGRAMME MIS EN PLACE PAR LA VILLE ? PENSEZ-VOUS QUE CELA JOUE UN RÔLE DANS LES GUERRES PUÉRILES QUI S'Y DÉROULENT (GANGS, POUVOIR) ? ce genre de chose, c'est bien loin de ta réalité louis. bien que tu sais maintenant que malgré tes efforts pour l'occulter, le monde n'est pas forcément si beau et si gentil. Mais tu te plais quand même à croire que dans tout ça, il n'y a rien de bien méchant. Que ce n'est que pour occuper les grands enfants. Guerre de territoire, à qui pissera le plus loin... Tant que ni toi, ni tes amis n'en sont victimes directement, tu ne réalises pas ce qu'il se passe vraiment.

☆ DITES-NOUS, QUEL EST VOTRE PLUS GRAND SECRET ? De france, tu as ramené un souvenir dont tu te serais bien passé. Un souvenir à vie, incurable. souvenir d'un homme, souvenir d'une nuit. l'éternel puceau de la bande, a perdu sa virginité en france. et histoire de s'assurer qu'il ne risquait pas de la retrouver un bon matin cachée sous son lit, il a réitéré l'expérience à plusieurs reprises. Certainement une manière d'essayer d'oublier celui qui n'a jamais cessé d'occuper toutes tes pensées, n'est-ce pas p'ti louis ? Ils portaient tous bien des noms différents, et peu importe qui ils étaient, ce que tu retenais amèrement toi, c'est qu'ils n'étaient pas simon.. Enfin bref, ce souvenir empoisonné de tes folles nuits rennaises .. c'est un laboratoire qui te l'a apporté. c'était là, noir sur blanc, sur le papier. tu te souviens, louis ? moi, oui. séropositif, que c'était marqué. tu as pleuré, beaucoup. tu t'es maudit, tu t'es dit que le karma s'acharnait un peu quand même, sur ta petite vie pourrie. Puis tu as consulté, tu t'es renseigné, t'as débuté un traitement. Les mois ont passé, et tu vis - presque - bien avec maintenant. Mais tu ne veux pas en parler, et ça ne te ronges pas pour autant, d'avoir été contaminé. Ce qui te rongerait, ce serait qu'on pense que tu sois revenu pour gratter la pitié. Que cette nouvelle vienne gâcher tes retrouvailles avec tes amis, qu'ils adaptent leurs réactions à ton égard, et encore pire mais improbable venant d'eux selon toi.. que tu sois traité comme un pestiféré. tu te met des œillères, tu fais l'autruche. Tu laisses tes soucis au placard et tu fonces droit devant. t'es là pour redevenir le loulou d'avant. Pas pour en devenir un encore moins marrant..

☆ ÊTES-VOUS LE SEUL AU COURANT, OU AVEZ-VOUS MIS D'AUTRES PERSONNES DANS LA CONFIDENCE ? Personne ne l'est, et personne n'a à l'être. Tu aurais pu apprendre de tes erreurs, apprendre qu'il est inutile de vouloir garder pour soi des secrets dans cette ville. Pourtant, tu restes persuadé que ton état de santé ne concerne que toi, car les gens sont trop peu informés et qu'ils ne pourraient ni comprendre, ni s'empêcher de te regarder différemment. Alors tu fais ce qui est nécessaire pour que cela ne vienne pas impacter ta vie, en prenant tes médicaments, tout simplement. Sans te poser de question, comme s'il s'agissait d'un traitement homéopathique pour prévenir de la grippe, un truc comme ça, un truc insignifiant. Tant que t'es encore capable de les payer. La charge virale du virus est indétectable dans ton sang, ce qui élimine les risques de transmission. Tu ne considères pas réellement cela comme un secret mise à part que personne d'autre que toi n'est au courant, et que tu tiens absolument à ce que cela reste ainsi.. Ouai alors en fait, oui, dis comme ça : c'est peut-être un secret finalement.
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Lazare Williams-Blake
death dresses in hecate
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PAPA LEGBA BLOW TO MY EAR - Vaudou - papa legba.
I'VE A THUNDERBOLT FOR ODIN - Nordique - odin.
DEATH DRESSES IN HECATE - Nécromancie - hécate.


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